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De multiples activités locales

 

La Réserve naturelle de Chastreix-Sancy se singularise par sa taille assez importante -1895 ha - et sa situation au sein d’un massif montagneux qui accueille de nombreuses activités socio-économiques.

Tourisme et sports de peine nature

Ces activités marquent fortement le territoire de la réserve naturelle. La fréquentation est extrêmement importante : environ 200 000 visiteurs parcourent les zones sommitales par été. Ces effectifs proviennent surtout du fonctionnement de 2 téléphériques, Mont-Dore et Superbesse, qui rendent les sommets facilement accessibles. C’est aussi le résultat du choix de développement économique de la communauté de communes du massif du Sancy, axé en priorité sur le tourisme. La réserve naturelle est entourée par 3 stations de ski alpin, qui participent considérablement à ce développement socio-économique. De nombreuses autres activités sportives s’exercent sur le territoire de la réserve naturelle : randonnée équestre, vol libre, ski nordique, ski de randonnée…

Une agriculture basée sur l’élevage

48 propriétaires se partagent 179 parcelles cadastrales, utilisées par 26 exploitations agricoles. 1490 ha sont composés de milieux ouverts à vocation pastorale, avec une production essentiellement bovine.

  • 1090 ha sont composés de prairies d’altitude ou d'estives, utilisées de manière assez extensive, sans aucune fertilisation, mais où localement les pressions de pâturage sont à ajuster

  • 375 ha correspondent à des prairies pâturées de proximité, où l’exploitation est souvent plus intensive

  • 25 ha sont réservées à de prairies de fauche de proximité, où les pratiques exercées sont variées : depuis les méthodes biologiques aux pratiques intensives de montagne.

Une vaste couverture forestière

420 ha de la réserve naturelle sont couverts d’une trentaine de boisements, majoritairement des hêtraies, dont au moins 260 ha peuvent être considérés comme de la forêt ancienne. 119 ha sont soumis à des coupes régulières surtout afin d’approvisionner en bois de chauffage. 154 ha n’en n’ont pas subi depuis 50 ans. Environ 150 ha sont parcourus par du bétail.

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